Chasseurs d'Orages

Voilà une question qui me turlupine depuis un moment , être chasseur d'orages c'est quoi ?

Je trouve que ton sondage n'a pas trop de raison d'être dans le sens où être chasseur d'orage, c'est je pense un peu de tout ça...

Sébastien Fraud a écrit :être chasseur d'orage, c'est je pense un peu de tout ça...

Je suis du même avis ;)

Oui et non ..


si je peux faire un peu moins de kilomètres c'est cool ...
mais en aucun cas j'attends dans mon coin ...
je guette chaque signes ...
... j'ai pas forcement mon apn aussi .. et je fais pas de vidéo
Pour l'adrénaline ... j'en ai suffisamment comme ça ..
En ce qui concerne l'etude de la foudre .. non car je suis pas scientifique


;

je ne me retrouve pas dans les choix de réponse car pour moi c'est:
communion avec la nature et l'humilité que les orages m'impose

Les 4 dernières propositions pour moi, dans l'ordre 5,6, 4, 3
Chasseur d'orage, par amour de ces phénomènes qui parfois nous dépassent totalement, par amour de la contemplation de ces spectacles sons et lumière que nous offre la nature, par un reste d'instinct de chasseur qui guette puis approche sa "proie" au plus près, tout en sachant qu'on est nous même une proie avant tout...

Salut Roger !

Un peu de tout sa pour moi !

Honnêtement je ne peux pas répondre, surtout si on n'a pas de choix multiple.
D'une part je ne me considère pas comme chasseur mais plutôt comme -on va dire- "sympathisant", non pas à cause de ma méthode (sans déplacement ni grands moyens techniques) mais tout simplement à cause de la place que ça prend dans mon esprit et mon emploi du temps, accaparés par d'autres choses. Elle est peut-être là, la toute première des conditions... qui de toute façon ne vous concerne pas pour la plupart. ;)
Et puis c'est vrai que le sondage oriente d'emblée le débat vers une vision restrictive de la chasse, alors qu'une définition générale va au-delà des seuls moyens, méthodes ou motivations particulières. Comme dit Cyril, la chasse c'est peut-être tout simplement l'amour des orages et la volonté de les rencontrer...

Mais ceci dit, bien d'accord avec le principe même de se poser des questions, toujours fructueux dans la mesure où ça ne mène pas à des empoignades stériles. C'est pas le tout d'avoir un super APN reflex Canon machin truc ni même de savoir s'en servir, c'est encore mieux de ne pas chasser idiot et ne pas oublier notre tout premier outil, celui qu'on a entre nos deux oreilles.


Pour la question 6 je la mettrais à part des autres, car un minimum d'intérêt pour la théorie et la connaissance me paraissent indispensables, indépendamment des questions de méthode. Sachant bien sûr à l'inverse qu'un pur théoricien ne fera jamais un chasseur et que la connaissance du terrain manque à bien des théories.

[PS : message pas mal édité ! :mrgreen: )

le choix peut être multiple dans l'explication mais mlaheureusement pas dans le vote . Peut être que je devrais le supprimer ? c'est juste pour avoir un avis de tout le monde .

Pas bien grave pour le sondage, on peut toujours répondre dans le topic. ;)

excellent poste avec le sondage , voilà les questions que nous nous posons peut souvent et qui mérites tout de même d'y être posté sur les forum de chasseurs d'orages .

pour ma part j'ai opté pour pour l'étude de la foudre et des phénomènes orageux ,mais il est vrai que l'on peut tout aussi bien recueillir des indices orageux .

après faire de kilomètres pour chasser ,bien je dirais oui et non ,
"oui" si l'on est sur que sur la zone ou nous nous dirigeons ,les orages seront vraiment violents et que les risques de phénomènes destructeurs sont vraiment élevés en bref ,si il y a vraiment quelques choses d'important et d'intéressant .

" non "si c'est pour des orages plutôt classiques , mais ceci dis une bonne chasse dépend ,de notre propre analyse de départ que nous faisons ,et selon comment nous interprétons les différents indices orageux et les modèles .

bien qu'il est évident que la limitation de nos budgets "argents" ,limite tout aussi nos déplacement ,les chasses coûte relativement chers ,surtout lorsque l'on se déplace assez loin ,c'est comme qui dirait à double tranchants ,puisque si l'on veut tout aussi observer quelques choses d'importants si l'on a un phénomène bien précis en vu ,il faut savoir parfois se déplacer loin donc ??

voilà pour ce qui est de ma réponse en vers ce poste ,bien sympathique .

cordialement

stormy-91

Ça n'engage que moi je trouve que le sondage à sa place
Je ne sais pas trop :
Je me déplace quand ça vaut vraiment le coup : bow echo du 14 juillet 2010.
Je me rend sur les spot proches (40 km max à partir de chez moi) sur les petites cellules.
à la bas je voulais étudier le phénomène au niveau radioélectrique ...

Alors... bonne question !

pour ma part :

faire pas mal de kilomètres parfois pour pas grand chose (exemple d'aout dernier 800km pour une quinzaine de photos ^^)

attendre sagement les cellules quand elles sont à proximités

relevé des indices sur la formation bien entendu

et bien entendu une bonne dose d'adrénaline!

Un chasseur d'orage est avant tout une personne qui fait des bornes pour avoir dans la boite l'orage le plus costaud et le plus esthétique et pour y ressentir une bonne dose d'adrénaline. Mais avant de faire des milliers de km, il doit étudier comment la cellule se déplace et évolue (maturité de l'orage). Et une fois de retour à la maison, il garde les meilleurs photos et fait un point sur ce qui n'allait pas comme trop de bornes pour pas grand chose?!
On retrouve souvent l'histoire des km parcourues mais je parle pour mon cas car étant dans un coin pas très propice il faut aller les traquer ces petites bêtes!! Il est vrai que si on loge dans les endroits dit"nid d'orages" comme l'Allier, pas besoin de faire tant de km que ça

Rien à ajouter par rapport aux propos de l'ami Xav (En même temps on a le même fonctionnement). Peut-être ajouterais-je le côté humain de cette passion. En effet les chasses sont vraiment pour nous l'occasion de bons moments entre amis et le covoiturage permet de pousser plus loin nos investigations orageuses!

Bien évidemment une fois dans la tourmente seule compte la communion et le rapport très particulier que nous ressentons face à l'orage!